Shoes Up & Fricote : ✔

Le week-end parfait pour moi, c'est chiller avec ma famille, rester des heures sous  une couverture, faire des collages, des origamis et des coloriages bidons, feuilleter des magazines... Du coup vendredi dernier, j'ai chopé mon Shoes-Up et mon Fricote à la Librairie Datta.

Je crois que c'est en 2009 que j'ai lu mon premier Shoes-Up. A l'époque, j'avais pour habitude d'acheter des revues de mode (toi-même-tu-sais-de-quoi-je-parleà. Le premier contact s'est fait grâce à ma soeur, qui posait un peu par hasard ses magazines à la maison. Et finalement, ça a été une grande découverte pour moi : j'étais fascinée par les images ; chaque article racontait quelque chose de cool et même si ça traitait de baskets ou du dernier shop ouvert en Belgique et bien c'était fluide.

Chaque numéro m'émeut : l'odeur du papier, le crissement de mes doigts lorsque j'effleure les pages : magique. L'équipe Shoes-Up respecte non seulement les lecteurs mais aussi les matériaux avec lesquels elle travaille et ça, c'est cool. Depuis, je ne rate aucun numéro. Et à chaque fois, c'est la même chose.

Et puis quelques années plus tard j'ai découvert le Fricote. J'en entendais souvent parler, notamment au travers des différents posts de l'illustratrice Sanaa-K, et des blogs de Ugly Mely et Shoes-Up. Mais encore une fois, c'est grâce à ma soeur que j'ai pu plonger dans l'univers fricotien. Chez Fricote, on te parle de cuisine comme on te parlerait d'amour. Il est question de passion, celle qui t'anime. Et chaque mot, chaque image est scrupuleusement choisi(e). 

Finalement, on est plus vraiment face à de vulgaires magazines mais à des recueils de poésie. Et pour rien au monde je ne les jetterai : à vrai dire, chaque numéro constitue remplit ma bibliothèque. Et tous les matins, c'est un véritable plaisir de les croiser.

Pour les curieux :